Hier, Hervé Thomas, Délégué Général d’Armateurs de France, a participé à une conférence sur le thème « De l’usine au magasin, portrait du transport maritime » dans le cadre de la Semaine de l’innovation Transport & Logistique (SiTL). Organisé Porte de Versailles du 26…
Hier, Hervé Thomas, Délégué Général d’Armateurs de France, a participé à une conférence sur le thème « De l’usine au magasin, portrait du transport maritime » dans le cadre de la Semaine de l’innovation Transport & Logistique (SiTL).
Organisé Porte de Versailles du 26 au 28 mars et inauguré par Elisabeth Borne – Ministre Chargée des Transports, ce salon présente des solutions innovantes du transport, de la chaîne logistique et de la supply chain pour l’industrie et la grande distribution.
Le transport maritime est un maillon essentiel de la chaîne logistique. Comme tous les ans, le Maritime Day & Connections de la SiTL dresse le portrait du transport maritime ainsi que le bilan de l’année précédente.
A cette occasion, Hervé Thomas s’est exprimé lors d’une conférence animée par Frédéric Denhez, Journaliste et chroniqueur chez France Inter et Ushuaïa TV. À ses côtés se tenaient Paul Tourret – Directeur de l’Institut Supérieur d’Économie Maritime (ISEMAR), Albert Thissen – Vice-Président Liner – AMCF (Agents Maritimes et Consignataires de France), Jean Zanuttini – Directeur Général de Neoline, Benoist Grosjean – Directeur de marchés produits pétroliers-chimiques gaz du Groupe Sogestran et Jean-Pierre Chalus – Délégué Général de l’Union des ports de France.
Les intervenants ont pu débattre et donner une vision d’ensemble du secteur maritime, abordant la question des coûts pour les chargeurs, des contraintes opérationnelles, des solutions environnementales, des réglementations, et des opportunités qu’il va falloir saisir à court et long termes. La prise de conscience de la problématique environnementale entraine des évolutions : les armateurs devront s’adapter à de nouvelles normes toujours plus restrictives. Ainsi, le Global Cap 2020 imposera à tous les navires, l’utilisation de carburants à bas taux de soufre (inférieur à 0,5 %) au 1er janvier 2020. Partant du postulat que la réponse apportée à l’enjeu écologique devait être plurielle, différentes solutions permettant de diminuer le taux d’émission de gaz à effet de serre ont été abordées, comme par exemple la réduction de la vitesse des navires. Dans un contexte de mondialisation, réduire la vitesse des navires engendrerait également une augmentation du nombre de navires permettant de générer plus d’emploi dans le secteur du maritime.
Frédéric Denhez, Paul Tourret, Jean-Pierre Chalus, Hervé Thomas, Albert Thissen, Benoist Grosjean, Jean Zanuttini
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