La loi Économie bleue, pilier du maritime français
La loi n° 2016-816 du 20 juin 2016 pour l’économie bleue fonde la compétitivité du secteur maritime. Elle soutient le développement de la flotte nationale et l’innovation dans l’économie bleue.
NOS ACTIONS
Le cadre juridique et réglementaire structure le secteur maritime français. Droit, gouvernance et assurance garantissent compétitivité, sécurité et adaptation aux enjeux nationaux et internationaux.
La loi n° 2016-816 du 20 juin 2016 pour l’économie bleue fonde la compétitivité du secteur maritime. Elle soutient le développement de la flotte nationale et l’innovation dans l’économie bleue.
Le Conseil Supérieur de la Marine Marchande réunit les acteurs publics et privés pour orienter les politiques maritimes et intégrer les priorités des armateurs en matière de compétitivité et sécurité.
Trois niveaux décisionnels façonnent les pratiques, les obligations et les responsabilités des armateurs.
L’assurance maritime encadre risques et responsabilités des armateurs. Elle garantit la continuité des opérations, la protection des actifs et la confiance des partenaires internationaux.
251
milliards d’euros de valeur ajoutée témoignent du poids considérable de l’économie bleue européenne en 2022 mais probablement trop large.
7
registres maritimes composent le Pavillon français : le premier registre, le RIF, le registre des “drones maritimes” et 4 registres des collectivités et territoires d’outre-mer : Nouvelle-Calédonie, Polynésie française, Wallis-et-Futuna, et Terres australes et antarctiques françaises (TAAF).
F.A.Q
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